Sabine Drabowitch chante des chansons.

Sa poésie particulière est portée d’une voix claire sur des mélodies et des  harmonies Draboviènes originales.
Le label indépendant Séraphique productions a produit quatre de ses cinq albums, et s’apprête à éditer son deuxième livre, un miracle d’après elle, incarné par son ami Vincent Moisselin.
Après la danse, le théâtre et la mise en scène, elle tombe d’amour pour la chanson grâce à Allain Leprest et ses ateliers d’écriture où elle planche coude à coude avec Stéphane Cadé, Wladimir Anselme, Agnès Bihl, Loïc Lantoine, Florent Vintrigner, rencontre Christian Paccoud, Armelle Dumoulin et bien d’autres… À Paris, à la suite du cabaret l’Ailleurs, le Limonaire devient leur maison.
Les concerts l’emmènent avec ses musiciens ( Michel Taïeb, Alexandre Leïtao, Cédric Chatelain, Nico Dri…) sur les routes de France et d’ailleurs, particulièrement en Chine où elle retourne régulièrement avaler des kilomètre de routes et de nouilles, tomber dans le bassin au carpes et sous le charme de ses amis chinois.
N’ayant jamais tourné en solo, elle se lance avec enthousiasme dans cette nouvelle aventure quelques semaines avant le premier confinement, quel pif. Mais ce début d’année 2021 lui donne furieusement envie de compagnie, et sa bonne fortune lui offre la rencontre avec Marylin Masson, mandoliniste et violoniste (Davaï, Robert Love). Après une résidence Cévenole en février, c’est la naissance du nouveau Drabo Duo.
À l’initiative des Drabobazars, concerts chorals et bazars amicaux joués notamment à la Java à Paris, elle décline depuis l’automne 2019 la formule en Cabarockettes mensuels à la Petite Rockette, ravie d’entrer dans la famille de cette plateforme écologique et citoyenne.
Son premier album  « Coeur de Forban » a été réalisé par Wladimir Anselme en 2003, le deuxième « Déraillés », par Bertrand Belin  et les trois autres jusqu’à  « Phréatique » en 2018, par Michel Taïeb.

SABINE
DRABOWITCH